Books and curses. || ft. Effie

__–Oui bah euh hein ! On est pas tous des assassins professionnels comme le monsieur ou des voleurs comme toi hein, que j’ai envie de lui répondre, mais je préfère faire les grosses joues et bouder. (Parce que si je rouspète alors qu’il a dit qu’il fallait pas faire de bruit ça fera du bruit et ce sera bête.) Bon puis en vrai ça va il est sympa Effie, il nous envoie un sort qui marche trop super bien ! (Puis moi ça me va de rester avec ma maman.) Elle me donne sa main et on marche ensemble comme ça. Pis ma maman elle a rien dit – forcément on l’entend plus – mais elle s’est un peu inclinée devant Effie pour lui dire merci.
__–Bientôt, on arrive devant une porte avec un puits trop méga beau ! J’ai envie d’aller voir dedans, mais ma maman me retient la main.
__–« Tes manières, ma chérie. Il s’agit de notre hôte. »
__–Ouh, puis elle a eu raison, je me serais pris la porte en pleine figure ! Il est pas très gentil en fait, cet augure, j’ai l’impression…
__–…
__–Jeune fille ???
__–« Ah mais en fait t’es une fille ? Mais pourquoi tu l’as pas dit plus tôt !? Enfin c’est pas grave hein. Bonjour monsieur l’oracle !
__–– Salutations, ô oracle. »
__–Pis on entre. C’est sombre à l’intérieur, mais heureusement y’a la lumière que produit le monsieur – ou alors, la lumière, c’est le monsieur ?
__–« Ouuuaaaaah t’as vu maman, c’est trop joli hein ?
__–– En effet. Merci de nous recevoir. Effilys, Ulfric, je vous laisse à votre conversation. Vous étiez là les premiers, il est juste que vous soyez les premiers à poser vos questions. Nous allons monter la garde. »
__–Bon ben du coup on attend dehors, parce que c’est pas poli d’écouter les conversations des autres. Enfin il se passe rien dehors, à part qu’il fait sombre et un peu froid et que ça me fait un peu peur… Alors je serre ma maman et je regarde un peu mais pas trop.
__–Ooooh.
__–C’est joli, là-bas. C’est comme un miroir qui bouge, avec les lumières des bougies qui se reflète dedans, ça fait un prisme un peu…
__–« C’est quoi là-bas, maman ? »
__–Elle regarde. Et elle fronce les sourcils.
__–« Va à l’intérieur. »
__–Oh ? Ah, sa main devient chaude, ça veut dire qu’elle prépare un sort de feu. Ça veut dire qu’il va y avoir du combat ! Alors vite vite je vais prévenir les autres.
__–« Héé ! Excusez-moi, y’a des ennemis qui arrivent ! »

Ainsi, Effie, te revoilà. Et pour ta première visite en près de 50 ans, tu me traite de vieux râleur… Pourquoi t'ouvrirais-je ma porte ? - La voie close, le défi dans la voix, la familiarité d'une entité qu'on penserait distante. Après ces détours et retours, les sorts d'illusions, l'urgence de la situation, l'impatience commence à pointer le bout de son nez. Effie lui expose finalement la vérité de notre présence, jusqu'à mentionner mon nom. Quand bien même je tenais à le garder pour nous, cette conversation est plus importante que ça, alors je n'en fais pas cas. Je laisse simplement les choses se dérouler, incline subtilement la tête en signe de respect, et observe la porte s'ouvrir dans un grincement aussi froid que le reste de ces pierres. À l'intérieur, c'est un puit surplombé de ce que je ne pourrais qualifier que d'une étoile qui nous attend. L'augure n'est pas un homme, plus depuis longtemps. Il est une entité incorporelle, et maintenant qu'on en a la preuve, je sais que sa conscience est également plus vaste que cette simple lumière éblouissante.

.. Vous étiez là les premiers, il est juste que vous soyez les premiers à poser vos questions. Nous allons monter la garde. - J'acquiesce en guise de remerciement et fais un pas de côté pour les laisser sortir. La porte se referme derrières elles, nous laisse face à cet être de lumière à la sagesse supposée nous aider. - Alors... Jeune élève, Homme de la main, que me vaut cette visite ? - Les petits cheveux sur ma nuque se redressent. Comment peut-il savoir ? La surprise du choix de mot passe presque aussitôt, me tire un bref soupir. - Vous connaissez déjà la réponse à cette question. - Intéressantes lectures, oui... Dangereuses, aussi. Je peux sentir le parfum de l'entre-monde sur toi. Tout comme je peux en sentir les relents dans les terres de Bordeciel. - Un sourcil s'arque. Les lèvres s'entrouvrent. - Non, épéiste, mon influence ne s'étend pas si loin, mais les énergies vont et viennent comme les courants d'un océan. Et cet endroit a toujours été un nexus de ces courants. Je ne saurais vous informer plus que ce que vous avez déjà appris un peu plus tôt aujourd'hui. Malheureusement, ce livre, l'énergie qu'il porte, cette magie est bien plus ancienne que mon temps. Le seul conseil que je peux vous offrir, si tant est que vous soyiez capable de l'accepter, c'est qu'un tel obstacle ne peut être confronté seuls.

Les mots flottent dans mon esprit. La voix de l'augure a quelque chose de lourde, d'intrusive aussi, et sa lumière a l'air de vibrer. Une vibration proche des éclairs qui déchireraient le ciel. À mesure qu'il parle, quelque chose grandit en moi. Une anticipation, une attention, et une certaine résignation, peut-être. Mais je réalise surtout que la vibration ne provient pas seulement de lui. Mes lèvres s'entrouvrent en une expression de brève surprise avant que mes yeux ne trouver Effie. - Quelque chose est en approche. - C'est à ce moment que la porte s'ouvre pour laisser entrer Lingell. - Héé ! Excusez-moi, y’a des ennemis qui arrivent ! - Une sensation de froid remonte le long de ma nuque, avant d'apercevoir la forme vaporeuse et scintillante. Des spectres de glace. Combien ? De part leur vitesse et leur nature semi éthérée, difficile à dire sans être directement face à eux. - Les volutes de sang sont emportés par le courant de la rivière du temps. - Laisse planer l'augure alors que je lui tourne le dos, une main sur la poignée de l'une de mes épées. Foutus entités magiques. Voilà pourquoi je ne m'aventure jamais ici. Mes épées ne peuvent pas faire saigner ces choses-là !

__–Oh, y’a le loup invoqué qui est de retour ! Bon ben je lui fais des grattouilles et tout hein, même s’il a pas vraiment de poils et qu’il les sent pas vraiment. L’autre chien il avance, il dépasse ma maman et il grogne très fort ! Mais eux, des spectres des glaces, je sais pas si ça peut être intimidé. En tout cas, ça marche pas trop, parce qu’ils avancent et on peut entendre leur espèce de sifflement super menaçant !
__–Et puis là, ma maman elle retient Effie de la main :
__–« Attends. Tu dis vrai. Laissons-la se révéler. Je veux avoir tous mes ennemis en visuel avant d’attaquer. »
__–Et elle joint ses mains et invoque un cercle de flammes super méga chaudes, qui entourent ma maman et Effie et le monsieur ! Bon ben comme ça y’a aucun spectre qui va les attaquer, ils vont devoir trouver autre chose pour attaquer, ou faire appel à leur lucereine.
__–Oh ? Y’a l’oracle qui me pose une question. Je me retourne et puis je m’incline pour le saluer.
__–« Bonjour monsieur l’oracle. Euh, moi je sais pas trop, parce que vous êtes une boule de lumière qui parle et je sais pas de quoi ça peut avoir envie, une boule de lumière qui parle, mais je suis sûre que ma maman elle pourrait trouver quelque chose qui vous fait plaisir ! Et puis sinon… »
__–Bon ils sont occupés dehors, ils vont pas entendre, alors je m’approche et lui chuchote à, euh… lui chuchote :
__–« Il faut pas le dire parce que c’est un secret, mais je crois que ma maman elle veut que y’ait plus de Thalmors à Fordhiver, même si j’ai pas trop compris pourquoi. Si vous aimez pas les Thalmors, comme maman elle dit que y’a aucun des habitants de Bordeciel qui les aiment bien, bah peut-être que ça vous ferait plaisir de nous aider si on vous le demande gentiment. »

Il doit y avoir une lucereine pas loin, prenez garde! - Ma mâchoire se crispe. Un autre adversaire intangible. Ou peut-être que sa nature la rendra plus vulnérable ? Lingell est laissée dans la salle avec l'Augure dont la voix continue de planer. Je me tiens sur le pas de la porte, laisse Effie et Lingriel en tête. Elles possèdent toutes deux des compétences magiques qui me font défauts, et qui seront bien plus efficaces dans cette situation. Et pour cause, les flammes d'un cercle invoqué se manifestent autour de nous. Un bouclier, et une prison. Lingriel veut attendre d'avoir la lucereine en vu, et je suis d'accord, mais je n'aime pas être aussi exposé. Malgré tout, je pose un genou à terre et observe le couloir au-delà. L'éclat violet dans la main d'Effie. Peut-être que ce serait l'occasion..

Mes lèvres marmonnes quelques sons et une lueur similaire éclate doucement dans ma paume. Comme pour les flammes, j'ai la sensation de devoir focaliser ma conscience toute entière sur une seule et unique tâche, mais les contours éthérés d'une dague prennent forme. Sortilège appris d'Effie durant notre voyage. Les prémices, tout du moins. Avoir constamment une arme disponible a semblé malin. C'est la première fois que j'essaye de m'en servir. Et contrairement à la ridicule étincelle grésillante de chaleur qu'avait donné mon premier sortilège de flammes, cette dague me semble floue mais fonctionnelle. Un sourire satisfait passe sur mes lèvres alors que je lève le nez vers le couloir. Je ne suis peut-être pas si démuni après tout.

Les esprits de glaces virevoltent, passent à travers les murs comme des lames de froid. Et puis une clarté glaciale apparait plus loin. Une silhouette au visage impassible, presque endeuillé. Elle porte une longue robe qui se désintègre en une épaisse brume scintillante si bien qu'on ne sait plus où la silhouette commence et où la brume finit. Aussitôt en vue, je lance ma dague. La visée est parfaite, la force employée est précisément idéale. La lame liée file à travers l'espace et, dans un souffle, disparait. Sortilège avorté, trop fragile ou mal maitrisé. Une véritable dague aurait atteint sa cible. Elle l'aurait traversé sans le moindre effet, mais elle l'aurait atteint. Ma mâchoire se crispe à nouveau, la satisfaction laisse place à la frustration. La Lucereine n'a pas eu la moindre réaction.

Un pas en arrière. Par reflexe, je pose une main sur la poignée de mes dagues de lancer, glissées dans mon armure, mais me reprend. La main crépite d'une flamme ondulante. Ce sort est moins puissant, m'obligera à être face à mon adversaire, mais au moins je sais qu'il ne me fera pas défaut. Peut-être. Foutue magie.

__–D’une main, ma maman maintient le bouclier de flammes. De l’autre, elle cherche dans sa tenue… Puis là boum ! Un énoooorme mur de glaces qui s’effondre sur elle, alors elle doit se concentrer pour maintenir la pression ! Par contre, ça fait sauter son bouclier. Puis Effie elle invoque un atronach de foudre, ça va être plus simple ! Je crois. Parce que y’a quand-même des feux follets et des spectres des glaces et une lucereine avec beauuuuucoup trop de dents…
__–« Cela prend trop de temps et devient trop risqué. Ulfric, tenez. »
__–Elle lui lance le parchemin qu’elle cherchait.
__–« Trouvez un moyen de contourner notre adversaire et envoyez-lui ce sort par derrière. »
__–Je crois que je sais ce que c’est, c’est une incinération, elle en garde toujours un, au cas où !
__–« Allez ! Je vais rétablir le bouclier. »
__–Parce que en face, ils reprennent l’attaque ! Mais ma maman c’est la plus forte, alors elle arrive à lever son bouclier de flammes et à faire reculer les spectres et les autres trucs méchants.

__–Et pendant ce temps, j’écoute ce que dit l’oracle. Bah oui je sais ce que c’est que des verrues, d’abord, mais je comprends pas pourquoi il parle de ça et puis après il parle de… des thalmors, je crois ? Ah ! Il comparait les deux ? C’est vraiment pas très gentil. J’aimerais pas qu’on me dise que je suis un champignon parasite, moi ! Enfin, à part ça, il est gentil, l’augure, en fait.
__–« C’est promis, monsieur, elle fera de mal à personne d’autre. Enfin… sauf si on nous attaque, mais je lui dirai de faire très très très attention à pas tuer ou blesser trop fort. Et… J’espère que la lucereine c’est pas votre amie, parce que bientôt il y en aura plus. Et dites monsieur, pourquoi on vous appelle l’oracle ? Vous pouvez voir dans le futur ? »

L'exclamation d'Effie a beau être honnête, je pense, je ne peux m'empêcher de la percevoir comme condescendante. L'échec, dans mon esprit, est autant une plaie qu'une leçon. Malgré tout, je n'en dis rien, serre les dents, concentre mon énergie sur la flamme crépitante qui né au creux de ma paume. - Wulfie attaque ! Non ! - Je lève le nez, aperçois aussitôt le mur de glace qui file vers nous tel un véritable raz-de-marée. Pas que j'en ai déjà vu un de mes yeux, mais les livres savent décrire de telles catastrophes à la perfection. Une lame de glace fumante, qui coince, écrase et disperse le loup spectral d'Effie entre froid et feu. Le feu qui, lui-même, s'étiole juste assez pour laisser à Lingriel l'opportunité de contenir l'attaque. Tout va très vite, les énergies collapsent et l'éclat éblouissant des éclairs met en lumière les facettes plus agressives de la Lucereine lorsqu'un atronach de foudre se manifeste dans son dos. Si le loup ne suffit pas, la tempête ira certainement.

Trouvez un moyen de contourner notre adversaire et envoyez-lui ce sort par derrière. - Le parchemin agrippé dans la même main qui jusque là retenait les flammes arcaniques, je ne le déroule même pas, le fourre à ma ceinture et pivote. Entre le feu et les éclairs, les ombres reculent telle une créature des bas fonds à la lisière d'une caverne. Il me faudra les créer, dans ce cas. Une main fourrée dans une sacoche à ma ceinture, je tire une petite fiole ronde pas plus grosse qu'un œil. - Je vais devoir assombrir le couloir si je veux l'atteindre sans être vu. Ça veut dire vous aveugler aussi. - Mais puisqu'il faut ce qu'il faut, j'attends à peine un regard avant de lancer la fiole qui éclate quelques mètres au-delà du bouclier de flammes.

Aussitôt un épais nuage d'une poussière noir et scintillante, comme un néant fait de sable, se propage et engloutit le couloir tout entier. Les spectres de glace disparaissent. La Lucereine elle-même devient invisible depuis la porte de l'Augure et on aperçoit tout juste les flashs persistant des éclairs de l'atronach. Et moi ? J'ai déjà disparu. Les ténèbres ont beau avoir l'air granuleuses, elles sont aussi douces qu'une brise sur mes joues. Aveugle, je le suis tout autant que les créatures qui m'entourent, mais j'ai aussi été entrainé à évoluer dans le noir. Mes sens prennent le relai, le froid des spectres m'indique où ne pas aller. L'autre bout du couloir est inscrit dans mon esprit avec précision. Un bourdonnement passif grandit à mesure que j'avance. Un pas après l'autre, durant une simple poignée de secondes, avant que les ténèbres ne se dissipent. Lorsque la brume de néant disparait, je ne suis plus dans le couloir, pas plus visible de mes acolytes que de mes ennemis.

Les bottes silencieuses glissent sur la pierre à l'angle du couloir, de l'autre côté de l'embranchement. De là, je peux apercevoir la Lucereine de profil, l'atronach de foudre brillant de puissance. Le lien saute. Le parchemin se déroule. Les mots gorgés de magie défilent sous mes yeux à mesure qu'ils glissent sur ma langue et hors de mes lèvres. Tout novice et incompétent puis-je être en ce qui concerne la magie, lire un parchemin n'a rien de bien sorcier et déjà, les flammes naissent dans ma main. Plus brillantes, plus puissantes, plus chaudes que toutes ces étincelles que j'ai pu former pour allumer quelques feux de camps. Et aussitôt les derniers mots psalmodiés, je tourne mon regards vers la Lucereine et tend la main. Les flammes filent si vite à travers l'espace que j'ai tout juste le temps de réaliser leur force. Une aura de chaleur et de lumière colore le couloir, commence à faire fondre la glace scintillante des pierres et quelques stalagmites au plafond. La Lucereine n'a tout simplement pas le temps d'éviter la déflagration.

__–Bon ben le monsieur il attend pas que ma maman elle ait répondu pour lancer son obscurité, mais c’est pas grave, parce qu’elle a pas besoin de voir en vrai. Les ennemis ils sont tous dans la même direction et puis elle fait que protéger le groupe, donc t’façons elle répond pas. Et puis là boum ! Le sort dans le parchemin est lancé et y’a un gros bruit comme un tremblement de terre ! Sauf que non, c’est juste la magie de ma maman (enfin, c’est peut-être plus fort encore !) Et puis il y a le cri de la créature qui meurt et ça fait peur, mais comme y’a plus rien après parce qu’elle est morte, en fait ça va.
__–Effie elle a peur du feu on dirait, en tout cas elle aime pas, parce qu’elle va se cacher derrière ma maman, qui est gentille parce qu’elle la prend dans ses bras.
__–« Moi non plus, je préfère la magie de foudre, mais il faut bien composer avec les adversaires qu’on rencontre. Tu n’as rien ? »
__–Visiblement ça va parce que Effie elle commence déjà à ramasser des trucs, mais bon quand on est gentil on demande.

__–Pis moi je siffle à la réponse de l’Augure.
__–« Ouuaaah, mais alors vous devez être super méga vieux ! Merci pour vos réponses en tout cas monsieur l’oracle et puis pour nous avoir laissé passer et aussi parce que vous êtes gentil, même si y’en a qui sont pas d’accord, moi je vous aime bien. J’espère que je vous reverrai un jour. »
__–Pis je m’incline comme on le fait à la cour d’Alinor, qui me manque un peu d’ailleurs. Et je reviens voir ma maman.
__–« C’est bon, l’Oracle il nous a autorisé à passer ! »
__–Alors du coup, comme il y a plus de danger, je sors le plan que j’ai fait depuis le début que je suis entrée dans l’hyposcole et puis je vais voir Effie.
__–« Diiiis, tu peux m’aider à le compléter s’il te plaîîît ? Parce que je sais pas ce que vous allez faire dans l’Académie, mais ce serait super gentil si tu nous montrais comment on fait pour entrer et sortir par là sans croiser trop de monstres… »
__–Et pendant ce temps, ma maman va voir, euh… bah Ulfric du coup.
__–« Astucieux, d’avoir généré cette puissante obscurité. Par curiosité scientifique, comment avez-vous procédé ? Et par intérêt commun, je suis prompte à vous échanger la recette contre un autre de mes parchemins. »